La technique
La Technique Alexander T.A. convient à toute personne qui souhaite avoir une meilleure attention à elle-même, à l’autre et à l’espace qu’elle occupe. L’intégration de cet apprentissage permet de rétablir une meilleure connexion du corps et de la pensée invitant à mieux ressentir, à mieux percevoir pour agir de façon inhabituelle.
La technique Alexander se présente comme un enseignement. Vous serez appelés à participer activement à ce processus à partir d’indications verbales et manuelles. Si un bien-être immédiat est ressenti à la suite d’un cours, c’est surtout à long terme que les bienfaits de ces leçons se révéleront.
Si vous ressentez des douleurs lorsque vous restez assis devant votre ordinateur ou lorsque vous êtes debout pendant de longues périodes, l’application des principes concrets de la T.A. vous aidera à intégrer une meilleure utilisation de vous -mêmes.
Frederick Matthias Alexander
Comédien spécialiste du répertoire de Shakespeare, il se retrouve souvent aphone et se voit contraint d’arrêter de faire des présentations publiques. Il s’engage alors à son propre rétablissement en s’observant devant un miroir. Il remarque que lorsqu’il déclame, il tire la tête en arrière, abaisse le larynx et aspire l’air par la bouche. Aussi, il comprend que la volonté de performer sur scène l’incite à répéter ces habitudes. Il reconnaît ainsi le lien existant entre le corps et l’esprit. Ses investigations lui permettent d’élaborer les principes d’un enseignement où l’attention dirigée sur les moyens utilisés pour agir importe davantage que la volonté d’atteindre un résultat. Il ouvre une école à Londres pour transmettre à des élèves les fondements de sa méthode. Il est l’auteur de quatre livres dont « L’usage de soi ». Aujourd’hui, des écoles de formation à la Technique Alexander sont établies en plusieurs pays et des professeurs pratiquent cet enseignement à travers le monde
Liens utiles
CANSTAT - The Canadian Society of Teachers of the Alexander Technique
MIEUX-ÊTRE - Article de magazine, juillet 2010
ENTRACTE - Article de magazine, automne 2010